Paul Melun Vie Prive

Paul Melun Vie Privée – Paul Melun, écrivain et conseiller politique d’une vingtaine d’années, tombe amoureux de Noizé et décide de s’y installer en réaménageant une vieille maison pittoresque.
Même s’il n’a que 26 ans, il a déjà un parcours impressionnant, rempli d’études universitaires et de contributions régulières à des médias nationaux comme Le Figaro, Marianne, Public Sénat et divers réseaux d’information. L’auteur Paul Melun travaille actuellement sur son deuxième roman. Dans quelle mesure cela concerne-t-il Thouarsais ? Il est préférable de le laisser cracher le morceau.
Comment arrive-t-on, originaire de Gironde mais résidant désormais à Paris, à Thouarsais ?
Le Révérend Melun Paul. « Mes parents sont passionnés par l’écotourisme, c’est comme ça que j’ai découvert le Marais Poitevin et le sud des Deux-Sèvres. Mais grâce à mon intérêt pour le passé, je connais très bien les monuments historiques les plus importants de la région. plus tard, je suis finalement arrivé à Thouarsais et je suis immédiatement tombé amoureux des lieux.
“Je me sens tellement plus libéré dans cette ville que je ne l’ai jamais été à Paris.”
Ce fut un coup de foudre et vous êtes désormais propriétaire d’une maison à Noizé.Depuis tout petit, j’ai envie d’un moulin, d’un château ou d’une vieille maison à mi-chemin entre Paris et Bordeaux que je pourrais aménager et habiter avec ma famille et mes amis.
J’ai apprécié mon séjour dans cette maison de Noizé beaucoup. Je peux planter un potager et un verger sur les 4 000 mètres carrés de terrain disponible. Il y a quelques belles dépendances qui ont été préservées. Les pierres les plus anciennes du bâtiment datent de plus de 300 ans. La majeure partie de la structure a été construite au fin du XIXème siècle. Et le tout appartenait à Roger Germon, ancien maire de la commune. J’aspire humblement à être porteur de cette tradition.
N’est-ce pas une autre façon de s’éloigner de la folie qu’est Paris ?
La seule raison pour laquelle je reste à Paris, c’est à cause des liens que j’y ai noués. Cependant, je suis beaucoup plus à l’aise ici. Si ce n’est pas tous les week-ends, alors dès que possible. Il ne s’agit pas d’un moyen d’évasion mais plutôt d’un besoin de s’organiser en communauté. Je lutte contre l’égoïsme en faveur de la cohésion et de la simplicité du groupe.
De plus, j’ai toujours été conscient de l’importance de préserver la culture locale. Ce n’est pas seulement pour votre grand-mère ! Tout ce dont nous disposons en France est une immense bénédiction. Nous discutons des moyens de revitaliser les petites et moyennes communautés, et l’utilisation de ce patrimoine en est un élément important.
Cela ressemble à une promesse politique…
Je crois sincèrement que les zones rurales de notre pays sont l’endroit où nous trouverons l’avenir de l’espoir. J’ai l’intention d’en faire une question centrale dans mon prochain livre. Je soutiens par exemple la création de pôles d’innovation dans des zones urbaines comme Thouars.
Les profits proviennent du tourisme de masse, mais les ressources culturelles sont souvent détournées. Je suis favorable au retour à nos racines dans nos patries. C’est une méthode pour moi de sauvegarder mes croyances et mes valeurs avec mes actions. Pour faire simple, je suis soit un gaulliste de gauche, soit un souverainiste.
Je m’inspire à la fois de Bonaparte et de Jaurès. Cependant, la souveraineté n’est pas la même chose que le nationalisme. Nous devons déléguer l’autorité aux niveaux inférieurs de gouvernement, en particulier aux villes. Vous pouvez assurer aux élus de Thouarse que je n’ai aucun intérêt à un mandat local (rires) !
Paul Melun est un chroniqueur et essayiste français. Il est le président des « Souverains de demain ! think tank, et il donne fréquemment des interviews à la radio et à la télévision et écrit des articles pour la presse écrite nationale pour commenter l’actualité.
Il a co-écrit avec Jérémie Cornet un article intitulé « Les enfants de la déconstruction » (édité par Marie B. en 2019). Son ouvrage le plus récent est Liberate the Left, édité par Chris de Cerf.
Séparation totale entre la gauche et le peuple ? — Un entretien avec Paul Melun
Est-il concevable qu’il y ait une autre gauche qui ne soit pas réveillée, qui fasse passer les besoins de la majorité avant ceux de quelques-uns, qui protège la nation et le peuple au lieu des intérêts particuliers ? L’éditeur de Libération la gauche, Paul Melun, des Editions du Cerf, est entièrement d’accord.
Avec vous, j’ai l’impression de retrouver ma voie de gauche, celle qui croyait au socialisme depuis mon enfance et m’immergeait dans un monde du travail trahi par la gauche gentrifiée, détruisant les usines, le prolétariat , et de nombreux proches.
À gauche se trouve un corps gazeux informe, sans épine. Sa signification change avec le temps ; ce qui était considéré comme « de gauche » en 1936 ne le sera plus en 2023. Ce n’est qu’une idée, un mirage lancé par ceux qui veulent vous voir échouer face à la réalité et au recours légitime à la force.
Oncle, le farceur de gauche, et le point de bascule de la rigueur qui s’en tient à la même politique que Giscard, contre qui il s’est battu pendant des années et a perdu deux élections présidentielles. De quoi parlent exactement M.
Onfray, Paul Meulin et les autres orateurs de gauche ? Un salaire minimum pour tous ? Il est temps de tuer ? L’islamo-gauchisme ? Commel’assistanat ? Universalisme? Je fais référence à un système d’éducation publique à la fois efficace et libérateur, qui favorise le développement de personnes à la fois consciencieuses et affirmées.
Travailler, désormais un terme immonde, accomplissement, se transcender, et vivre dans un pays souverain qui affiche la lumière : quoi de mieux ? En résumé, bonne chance !
Paul Melun, un réactionnaire de gauche qui compte voter en 2022
L’essayiste, de plus en plus présent dans les journaux télévisés, illustre le gouffre grandissant qui s’est ouvert entre mondialistes et souverainistes. Un profil retrouvé qu’il compte exploiter dans une prochaine initiative présidentielle. Portrait.
Noizé, petit village de 201 habitants au dernier recensement de 1968, est le théâtre d’un prochain rendez-vous. Certainement un signe. Quelque chose dans la vue des toits d’ardoise et d’un petit clocher au milieu de ces immenses champs semble réconfortant.
La carte postale semble inspirée de l’affiche de campagne “La force calme” utilisée par François Mitterrand en 1992. Pourquoi un homme de 26 ans, urbain et mondialisé, qui travaille comme consultant à La Défense, s’installerait-il ici ? “J’ai toujours voulu une maison ancienne où je pourrais recevoir famille et amis, entre Paris et Bordeaux”, raconte Paul Melun. Entre
La jeunesse d’aujourd’hui a-t-elle ce qu’il faut pour s’attaquer aux plus grands problèmes du siècle ? C’est un euphémisme : la situation actuelle n’inspire pas d’optimisme quant à l’avenir. Co-auteur de Enfants de la déconstruction : Portrait d’une enfance en rupture, Paul Melun a passé ses années de formation dans le quartier Saint-Jean de Bordeaux.
Me faire, m’aimer et me combattre sont les trois étapes de l’existence que Jérémie Cornet et Paul Melun identifient pour tout enfant de la déconstruction entre quinze et vingt-cinq ans. Ce jeune se forme au travers des interactions avec les autres et avec le monde. Pour compenser une structure trop fragile et anxiogène, elle s’aime artificiellement.
L’inachèvement crée des frictions et des divisions. Ce livre n’est pas une étude académique ; Selon les auteurs Jérémie Cornet et Paul Melun, il s’agit plutôt d’un effort pour donner un sens à l’époque actuelle et pour échanger des aspirations. Un portrait de la jeunesse française contemporaine, avec ses incertitudes, ses inquiétudes et ses intérêts émergents.
Un guide utile pour comprendre les jeunes d’aujourd’hui et nouer des relations significatives avec eux. Le virtuel étant partout, les interactions en face-à-face sont moins courantes qu’elles ne l’étaient autrefois. Publié aux Editions Marie B, “Les Enfants de la Déconstruction” dresse le portrait d’une génération en rupture.
Jérémie Cornet est né à Paris et a passé son enfance en Charente. Il fréquente ensuite Sciences Po Bordeaux et l’ESSEC. Jérémie Cornet travaille comme consultant pour IBM et fournit des conseils sur la mise en œuvre de systèmes blockchain et d’IA.
En plus d’avoir lancé une entreprise dans le marché de l’art, il a participé et dirigé de nombreuses organisations professionnelles. Paul Melun est originaire de Gironde et ancien président du syndicat étudiant UNEF à Sciences Po Bordeaux, où il a commencé à s’engager politiquement.
Après avoir obtenu son diplôme de conseil en stratégie chez KPMG, il intègre l’ESSEC. Parallèlement à ses activités dans le secteur commercial, Paul Melun continue de conseiller de nombreuses personnalités politiques en sa qualité de membre du bureau du club D12 à Paris.
Paul Melun, chroniqueur et essayiste, est l’une des jeunes figures politiques françaises les plus impressionnantes de mémoire récente. En tant que personnalité marquante du Parti socialiste, il est fréquemment interviewé par la presse. Il semblerait cependant que le jeune ait changé de camp au cours des derniers mois. C’est bizarre. Paul Melun et son épouse apparaissent à l’écran.
Paul Melun est-il marié ou joue-t-il simplement sur le terrain ?
Paul Melun et son épouse restent des personnages mystérieux dont on sait presque peu de choses. Le jeune homme de 28 ans évoque rarement sa vie amoureuse. Le second est intelligent et attirant, ce qui le rend irrésistible auprès des femelles. Après tout, Paul Melun et son amant auraient peut-être choisi de profiter de leur liaison en secret.
Que retient-on de la vie professionnelle du jeune homme ?
La fête de Paul Melun est le 12 septembre. Il a ensuite fréquenté l’Institut d’études politiques de Bordeaux pour poursuivre ses études après avoir obtenu son BAC. Il était à l’époque représentant des étudiants de l’UNEF. Dans les années qui suivent, il s’installe à Paris et s’inscrit à l’ESSEC. En 2018, il évolue vers le rôle de consultant stratégique.
Simultanément, le jeune homme écrit un roman intitulé “L’Enfant de la Déconstruction”. L’intrigue de ce travail est la suivante.La jeunesse occidentale a du mal à trouver sa place dans une société où l’individualité, la compétition et la surconsommation sont la norme.Comment peuvent-ils se rétablir et contribuer à construire un monde meilleur ?

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